Boutique Naxi « Shuhe traditional fur » à Lijiang
Boutique Naxi « Shuhe traditional fur » à Lijiang

Boutique Naxi « Shuhe traditional fur » à Lijiang

Cette boutique se situe dans un petit village de Shuhe, devenue en réalité une agglomération de Lijiang. C’est à dire une des villes les plus touristique de la Chine. Mais aujourd’hui, est-ce réellement un village ou une attraction touristique ?

Cette boutique est présentée comme sauvegardant un artisanat authentique. On peut interroger ceci de diverses manière ? N’est-elle pas un arbre qui cache la forêt ? Les tarifs pratiqués résevent-il les achat aux élites ? Montre t-elle la voie à suivre pour d’autres minorités ? La Chine évolue si vite et la mentalité chinoise change bien plus rapidement que ce qui ait dit en France.

Une chose est sûre, comme les chinois aspirent au vrai et au beau, tous les espoirs sont donc permis … si vous avez des réponses à proposer à ces questions, dites le nous, nous changerons l’article en conséquence… Avez-vous visiter de telles boutiques en Chine ?

Les ancêtres de l’ethnie Naxi à Lijiang étaient d’anciens Qiang qui vivaient dans la région de Huanghe (Huanghe) du nord-ouest de la Chine. Ils étaient nomades et produisaient leurs vétements à partir de peaux pour lutter contre le froid de leurs montagnes. Cet art du vétement en peaux et en fourrure à commencé à prendre forme à cette époque, et elles se sont transmises de génération en génération jusqu’à ce jour.

Le fondateur de la boutique se nomme Li Jinfeng, maintenant âgé de 72 ans (en 2020) et vit à Shuhe. Il est l’héritier de ce patrimoine culturel immatériel exceptionnel. Durant toute sa vie; il a eu conscience de la valeur de la préservation de cet l’artisanat. La boutique est désormais tenus par ces enfants.

Les peaux de mouton et de lapin sont les principaux produits utilisés. Le style varie du style traditionnel au style plus moderne : pochette à tabac, sacs en cuir, manteaux et autres.

http://www.ljshuhe.com/view/ljdypc/1/32/view/500.html
http://www.ljshuhe.com/view/ljdypc/1/32/view/500.html

Des conditions de travail modernes sont moins photogéniques que les vieux ateliers d’autrefois mais bien plus agréables. La présence du reporter est significative. A l’arrière-plan, on distingue des objets en fausse peau de panthère et de tigre, un micro-onde, un diplôme …

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